La comète « 3i Atlas », bizarre, vous avez dit bizarre ?

comète 3i Atlas

Il y a un objet interstellaire que nous nommons « 3i/Atlas » qui évolue à proximité de la terre et que nous pouvons observer avec une simple lunette d’observation.

Cet objet présente des caractéristiques physiques que nous ne comprenons pas et qui ne sont pas physiquement possibles à l’état naturel selon nos connaissances de la physique.

Cette vidéo pédagogique me semble être pertinente pour présenter toutes les incongruités ou singularités de cette comète « 3I/Atlas », découvertes à ce jour :

Nous parviendrons peut-être dans le futur à expliquer les mécanismes physiques, causaux et déterministes qui induisent l’existence d’un tel objet à l’état naturel, d’autant plus que nous ignorons tout ce qu’il nous reste à découvrir, mais je souhaite que nous étudiions bien toutes les hypothèses possibles.

Objet naturel ou synthétique ?

Sur un « pré-print » du professeur Abraham (Avi) LOEB pour l’université d’Harvard aux U.S.A., ce professeur subjectivement catégorise « 3i/Atlas » par le gradient quatre sur une échelle allant de zéro à dix. Pour lui au regard de nos connaissances de la physique et des spécificités de cet objet, il y aurait donc quatre chances sur dix que cet objet soit synthétique ou donc technologique.

En logique Aristotélicienne du tiers-exclu ou divalente*, de deux choses l’une, soit c’est un objet synthétique, soit c’est un objet naturel.

*Logique divalente : toutes choses ne peuvent que être ou ne pas être.

Puisque nous ne savons pas comprendre les causes naturelles à l’origine d’un tel objet et puisque nos connaissances de la physique nous laissent croire qu’un tel objet ne pourrait pas exister à l’état naturel, l’hypothèse que ce dernier puisse être synthétique ne peut donc rationnellement pas être écartée, dès lors qu’elle ne se substitue pas à l’hypothèse que cet objet serait un objet naturel, alors que les mécanismes de sa gestation naturelle seraient encore inconnus.

Nous sommes peut-être très ignorants, comme les Hommes qui dansaient autour du feu lors des éclipses du soleil pour se protéger du courroux des Dieux pouvaient l’être et peut-être que nous parviendrons à trouver dans le futur une explication qui nous paraîtra alors très simple, pour expliquer l’existence physique de cet objet. Peut-être que dans le futur cette explication nous paraitra si évidente que les Hommes du futur nous percevront, exactement comme nous percevons ces Hommes du passé, qui pour nous projetaient par ignorance leurs peurs sur une simple éclipse du soleil, afin d’exorciser ces mêmes peurs.

Danse collective autour du feu

Alors, il est trop tôt pour conclure sur cet objet « 3i/Atlas », ceux qui travaillent à trouver les éventuelles causent naturelles à l’existence de cet objet avancent dans leur travail, mais ma contribution est la suivante :

S’il s’agissait d’un objet synthétique et si cet objet était l’œuvre d’un groupe d’extraterrestres, il pourrait participer d’un plan de communication et à ce moment là je vous ferrais remarquer une chose très simple, à savoir que si cet objet avait été dévié de quelques millimètres seulement en amont de son passage à proximité de la terre, alors il aurait touché la terre.

Représentation artistique d’un impact cataclysmique, tel que l’événement de Chicxulub © Dona Jalufka

Dans cette double hypothèse, cela signifie que l’intelligence qui aurait projeté cet objet, aurait assumé, malgré la pleine maîtrise de cette technique, un risque d’accident à l’endroit des Hommes de la terre.

Par exemple, lorsqu’une intelligence humaine ou inconnue réalise un agroglyphe, cercle de culture ou « crop-circle » en anglais, le risque d’accident est circonscrit aux éventuels témoins ou aux éventuels animaux présents et il reste marginal. A ma connaissance personne n’a jamais été blessé parmi les Hommes sur terre par suite de la réalisation ou de l’étude d’un agroglyphe.

Quelques agroglyphes ou cercles de culture photographiés dans le monde

Mais là, dans l’hypothèse que cet objet serait synthétique, s’il relevait d’un plan de communication, il y aurait donc de la part du communicateur une acceptation consciente ou inconsciente d’un risque majeur d’accident pour les Hommes et les animaux de la terre. Ce risque serait induit par le vecteur de communication qui là aurait été choisi, à savoir, cette comète !

C’est une conjecture, presque une spéculation, mais aussi une double hypothèse à valider ou invalider.

Du reste, l’hypothèse que cet objet serait synthétique n’induit pas que ce dernier participerait forcément d’un plan de communication ou même d’un plan de communication extraterrestre dans le cadre de cette hypothèse.

Cet objet pourrait peut-être aussi n’être par exemple qu’un déchet industriel qu’une intelligence aurait perdu dans l’univers voilà plusieurs millions d’années et qui n’arriverait sous notre observation que maintenant.

Cet objet pourrait être un jouet téléguidé déployé par des thésard extraterrestres pour étudier la sociologie des humains sur terre, dans le cadre de doctorats qu’ils réalisent sur leurs exoplanètes.

Cet objet pourrait aussi n’être qu’une manipulation militaire humaine terrienne ou mafieuse de type « Projet Blue-Beam », pour par exemple justifier une opération militaire au motif de préserver les peuples terriens d’une invasion extraterrestre imaginaire qui n’existerait donc pas !

Ceux qui disent « vos hypothèses sont fantasques car je ne crois pas qu’elles puissent être réelles », sont des croyants psychorigides, lorsque le scientifique lui ne s’interdit jamais aucune hypothèse, quelle qu’elle soit.

Donc, je me garderais bien de conclure, mais s’il s’agissait d’un plan de communication extraterrestre à l’endroit des Hommes de la terre, je crois que le message serait le suivant :

1° – Nous respectons assez votre libre-arbitre pour que notre communication à votre endroit ne puisse pas induire une preuve trop formelle de notre existence (cette comète est juste assez subtile pour que vous ayez un sérieux doute, mais pas assez pour vous causer une certitude).

2° – Nous acceptons désormais un risque plus élevé d’accident et de préjudice corporelle vous concernant lors de notre communication à votre endroit (il y avait un risque d’accident mineur mais réel à votre endroit lors de la mise en œuvre de ce projet).

3° – Nous acceptons désormais un accroissement de ce risque d’accident au motif que vous développez le voyage interstellaire, alors que vos attributs comportementaux ne sont pas au niveau minimum d’exigence des standards universels (armes de destruction planétaire, parodies de mariages homosexuels, « idées virus » etc.).

Un univers holographique ?

Ceci est une communication du Collège Antithétique, antithétique signifie « qui contient une contradiction », « lorsque la contradiction est incluse dans le modèle qui la porte », aussi je souhaite introduire une question de métaphysique ou de foi et de croyance dans cet article.

Des philosophes comme des religieux postulent que nous évoluerions dans un univers holographique, qui dans la continuité de leurs interprétations du mythe de « la caverne de Platon« , serait physiquement constitué par la matière que seraient nos rêves.

Peinture de René Magritte, « La condition humaine » (1935)

Vouloir croire n’est-ce pas déjà vouloir se mentir à soi-même ?

Non juste se mentir à soi-même malgré soi, mais bien vouloir se mentir à soi-même ?

Si quelqu’un veut croire par convenance personnelle que l’univers est holographique, créé par ses rêves, est-ce qu’il n’y aurait pas en fait une cause inconsciente, vulgaire ou infantile à cette volonté ?

Après cette mise en garde, entrons dans le vif de ce sujet.

Des mathématiciens et des physiciens nous expliquent que nous évoluerions dans un continuum spatio-temporel décadimensionnel à dix ou douze dimensions. Il s’agit là des dimensions telles que normées par la convenance mathématique, à savoir par exemple que la longueur, la largeur et la hauteur sont les trois premières dimensions considérées, lorsque le temps est la quatrième dimension considérée.

Ces mathématiciens nous disent qu’il n’existerait pas quatre, mais dix ou douze dimensions, ce qui nous laisse pantois.

Ces mathématiciens ajoutent qu’ils ne parviennent pas à mentalement modéliser ou à cognitivement comprendre ces dimensions au delà de la sixième dimension mathématique !

Donc, ils voient leurs équations mathématiques, ils les croient justes, cohérentes, mais ils ne comprennent pas quels objets ou faits physiques ces mêmes équations désignent !

Nous faisons ainsi des découvertes, uniquement avec des mathématiques, mais nous ne savons pas à quoi correspondent ces découvertes dans notre réalité physique, causale et déterministe !

Est-ce que ces dix dimensions seraient une preuve mathématique que nous serions dans un univers holographique ? Dans la caverne de Platon ? La preuve que nos rêves créeraient la causalité et le déterminisme du monde physique expérimenté par l’Homme sur terre ?

Les intéressés ne savent pas répondre à cette question ou ils refusent d’y répondre pour préserver le libre-arbitre de chacun.

À droite ou à gauche ?

Alors, dans cette perspective métaphysique et dans l’hypothèse d’une origine synthétique de cet objet « 3i Atlas », ainsi que dans l’hypothèse dans cette hypothèse, que cet objet participerait d’un plan de communication extraterrestre à l’endroit des Hommes de la terre, est-ce qu’il y aurait vraiment eu un risque d’accident lors du tir de cet objet en direction de la terre ou est-ce que ce risque n’existait et n’existe que par notre peur et notre regard porté sur cet objet ?

En réalité, cet objet ne pouvait donc pas tomber sur terre, car il fut tiré avec amour par des extraterrestres d’amour dans une danse avec Dieu, puisqu’il est un objet en réalité donc télékinésique, mu par les consciences collectives des espèces vivantes, dans un univers métaphysique ou continuum spatio-temporel décadimensionnel, lorsque seul cet article fait que cet objet puisse risquer de tomber sur terre ?

C’est une question.

C’est donc mon regard machiavélique, tordu, de petit humain terrien qui veut voir le mal partout, posé sur cet objet, qui cause un risque de chute de cet objet sur terre, alors qu’indépendamment de ce regard et indépendamment du machiavélisme de mon regard, cet objet n’est qu’un objet de pur amour ?

Remplaçons le mot « amour » par les mots « conscience », « considération », « essence des choses », « horizon des évènements » et la question demeure similaire.

Agroglyphes en forme de cœurs découverts le 12 juillet 2024 à Sarraltroff, en Moselle, en France.

Est-ce que nous humains nous avons vraiment tout fait pour en arriver là ? Pour être maintenant confrontés à un objet aussi impossible que peut l’être sous notre observation, « 3i/Atlas » ?

Si nous sommes tout à la fois le scénariste et le scénarisé de la réalité physique, ainsi donc que des rêves et des coïncidences des évènements de nos vies, je vous fais donc peur avec mon hypothèse sur cette comète « 3i/Atlas » et avec ma spéculation sur cette hypothèse, comme on fait peur à des enfants pour les dissuader de commettre des bêtises ou d’encourir un danger ?

Alors qu’en réalité il n’existe aucun danger que vous n’accepteriez pas de scénariser vous-même, par vos rêves, dans votre propre réalité physique ?

Quoi qu’il en soit cet objet « 3I/Atlas » évolue vers son propre futur et sa trajectoire fait qu’il s’éloigne de la terre.

« Ouf de soulagement », il n’est pas passé loin celui-ci.

L’extinction des dinosaures est encore par nos recherches un fait contemporain de la terre, alors qu’ils s’éteignaient possiblement par suite de la collision entre un astéroïde et la terre.

« 3i Atlas » un vaisseau extraterrestre ?

Certaines personnes, parce qu’elles veulent trouver un sauveur pour fuir les exigences de leurs propres existences, adhèrent à la croyance que « 3i/Atlas » serait un vaisseau extraterrestre fait de tôles et de boulons. Pour ces gens là, cet objet serait un vaisseau de transport extraterrestre et nous pourrions presque avec nos jumelles voir leurs visages d’extraterrestres à travers les hublots de ce même vaisseau. Ces gens attendent que ces extraterrestres viennent les sauver des vicissitude de leurs vies.

L’observation infirme ce postulat.

Cette croyance est diversement articulée, y compris par des sectes et ces pauvres personnes trop crédules, fragiles par leurs désirs de trouver un sauveur, sont raillées, moquées, stipendiées ou même internées en psychiatrie.

La croyance et la crédulité de ces personnes vient même paradoxalement valider la thèse d’obscurantistes que l’hypothèse d’une possible origine synthétique à cet objet ne devrait pas être recherchée ! Comme des gens crédules en mal d’amour voient dans cet objet « 3I/Atlas » un vaisseau extraterrestre, alors les gens rationnels qui veulent étudier une possible origine technologique à cet objet, sont eux-mêmes crédules, c’est logique, n’est-ce pas ?

Or, cet objet dans une perspective métaphysique ne pourrait-il pas aussi être un vaisseau de transport, non pas d’extraterrestres, mais de noumènes ?

Un noumène c’est un objet qui prend une forme physique, causale et déterministe en modulation active avec le regard de celui qui l’observe. Nous n’avons pas de preuves formelles à ma connaissance de l’existence des noumènes, mais simplement plusieurs indices qu’ils pourraient exister et qu’ils seraient potentiellement une forme de vie présente sur terre.

À ce titre certains Phénomènes Atmosphériques Non Identifiés (P.A.N.I.), ou certains comportements d’Objets Volants Non Identifiés (O.V.N.I.), notamment ceux superficiellement débattus au Congrès des Etats-Unis d’Amérique, sont de plus en plus désignés comme étant des « PAN » par les témoins, c’est-à-dire des noumènes au regard de leurs comportements physiques en dépendance modulatoire active à ce qui les observe. Le mot « PAN » est d’ailleurs inconsciemment pour ceux qui utilisent ce mot en français, non pas un synonyme de l’acronyme « P.A.N.I. », mais bien un synonyme du mot noumène, qui lui me semble plus précis pour désigner les objets que ceux qui emploient le mot « PAN », souhaitent désigner par ce mot !

Aussi, la statistique et les probabilités sont le principal outil par lequel nous pouvons avoir des indices de la potentielle existence des noumènes. Vous savez par exemple que dans la théorie des jeux il est quasiment impossible qu’une pièce jouée à pile ou face tombe 10000 fois de suite du même côté. Aussi, en utilisant cette loi empirique, nous pouvons rechercher des incongruités statistiques qui sont alors à la base de l’hypothèse de l’existence des noumènes. Par exemple, si un P.A.N.I. était observé et filmé dans le ciel plusieurs dizaines de fois par un témoin et si ce phénomène par hasard faisait coïncidence avec certains éléments de la vie du témoin (psychés, habitudes etc.), alors que la forme de ce P.A.N.I. s’adapterait visuellement à chaque fois à ces éléments, nous pourrions poser dans un tel cas l’hypothèse parmi bien d’autres, que le témoin pourrait être en contact avec un noumène.

Les armées comme les civils de plusieurs pays relatent des cas de P.A.N.I. très étranges qui ne sont pas compris, mais que nous pourrions peut-être tenter de dévoiler à notre regard, en ouvrant l’hypothèse que certains de ces P.A.N.I. pourraient en réalité être des noumènes ou des phénomènes nouméniques.

Pour terminer mon illustration sur le concept spéculatif et métaphysique du noumène, je peux citer le roman titré « Ami l’enfant des étoiles« , car dans ce roman les auteurs croient décrire un extraterrestre pour protagoniste de leur histoire fictive, alors qu’en réalité ce n’est pas un extraterrestre qu’ils décrivent dans ce roman, mais bien un noumène qu’ils confondent avec un extraterrestre. Je déconseille à titre personnel la lecture ou la promotion de cet ouvrage, surtout auprès des enfants et cet article n’est pas une promotion de l’éditeur de cet ouvrage, mais cet « ebook » est une merveille conceptuelle pour l’épistémologie, la psychologie sociale et la métaphysique.

Un extraterrestre lui, serait un animal issu du biotope d’une exoplanète, soit, un animal, probablement hominidé qui serait né probablement d’une génitrice, sur un autre astre froid qui évoluerait dans la zone de l’eau, autour d’une ou de plusieurs autres étoiles dans notre galaxie la voie lactée ou dans d’autres galaxies de notre univers visible ou inconnu en masses positives.

Extraterrestre = animal hypothétique.

Noumène = objet hypothétique au delà des quatre dimensions mathématiques, qui a un effet sur ces quatre dimensions, en modulation active avec le regard du témoin animal, humain ou extraterrestre.

La bande lumineuse sur cette photographie réalisée au Parc national du Grand Teton, dans le Wyoming aux U.S.A. est constituée des étoiles de notre galaxie la voie lactée, que nous pouvons observer depuis l’intérieur de cette même galaxie où se trouve la planète terre !

Alors, avant de conclure que tous les gens qui croient que « 3i Atlas » serait un vaisseau extraterrestre, seraient des crétins, des fous, des crédules, des infantiles, des marginaux, des ignorants, des rêveurs, des croyants, des dévots ou des gourous, avons-nous seulement envisagé l’hypothèse modeste, humble et agnostique, que parmi ce groupe de gens et malgré les apparences, il pourrait se trouver quelques cas de personnes qui auraient des indices concordants que cet objet serait le transport de noumènes, jusqu’à peut-être pouvoir valider alors l’existence des noumènes ?

Par agnosticisme*, faut-il considérer que les premiers Hommes qui exorcisaient leurs peurs en tournant autour de feux de camps lors des éclipses du soleil, par ce panthéisme, ce fétichisme ou ce paganisme, pouvaient aussi rencontrer des noumènes, dont nous aurions oublié l’existence et oublié de pouvoir prouver l’existence, par la découverte de la raison ?

*Agnosticisme : croire que tout n’est pas accessible à la connaissance de l’Homme.

Enfin, d’un point de vu extraterrestre, est-ce que justement le plus intéressant sur terre ne serait pas de venir étudier ceux des humains qui en voyant cet objet « 3i Atlas », croiraient disposer d’indices qu’il serait peuplé de noumènes ? Alors, si nous voulons chercher une vie extraterrestre, en sus de l’astrophysique, pourquoi ne pas aussi aller la chercher auprès de ces humains qui croient avoir un contact avec des noumènes, qu’ils peuvent nommer des « PAN », dès lors que cette croyance est susceptible d’intéresser et donc d’attirer des extraterrestres à eux, y compris si ces extraterrestres souhaitaient valider ou invalider comme nous humains, l’hypothèse d’une présence de noumènes sur terre ?

Si ce raisonnement est tordu, est-ce parce que je manque de foi, est-ce parce que je ne suis qu’un petit humain terrien machiavélique qui oublie d’aimer ou est-ce parce que je ne vie comme tout humain, que pour la raison que je cherche à me comprendre ?

La recherche ? De soi-même ? De la vérité ?

Je conclurais en disant une chose simple, la recherche ce n’est pas une institution, pas un modèle, pas une psychorigidité, c’est se mettre en danger et en risque d’aller chercher là où personne n’est jamais allé chercher, quitte même parfois à ne rien trouver, car le fait de ne rien trouver là où on pouvait chercher, est aussi une découverte, au même titre que toutes autres découvertes.

Si nous découvrions les causes naturelles de l’existence de cet objet « 3i Atlas » et personnellement ma croyance est qu’il est un fascinant objet naturel, alors que l’univers est d’une infinie richesse, alors je ne regretterais aucune ligne de cet article, car son propos est applicable à tout objet de recherche et non uniquement à l’étude de « 3i/Atlas ».

J’espère que vous me reconnaîtrez du courage lorsque je prends le risque de publier cet article de métaphysique, au risque de compromettre la crédibilité de mes autres articles purement causaux et déterministes déjà publiés, notamment sur le choix énergétique contemporain ou les chakras.

La vie est un miracle ! et/ou ?

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