Une perspective et une spéculation exopolitique
Nous reviendrons sur les éléments de sciences qui permettent d’envisager la faisabilité du voyage interstellaire, notamment les travaux sur l’univers bi-métrique « Janus » du Docteur ès sciences Jean-pierre Petit publiés dans les plus prestigieuses revues scientifiques mondiales à comité de lecture (une liste non exhaustive de ces publications : « a paradigm shift » et sur la base de données du CNRS) et nous reviendrons sur les éléments factuels qui peuvent nous laisser accroire à la réalité d’une présence extraterrestre sur terre (notamment le rapport du Pentagone au Sénat des U.S.A. sur les U.A.P. du 25 juin 2021 et à plus forte raison sa version classifiée), mais dans cet article je vais me limiter à spéculer sur les conséquences politiques d’une rencontre avec des extraterrestres et sur les raisons pour lesquelles cette rencontre n’est pas encore publiquement et formellement advenue.
Partons du constat qu’une rencontre formelle n’est pas advenue
Notre réseau social humain sur terre ne connaît pas de relations politiques, sociales ou culturelles avancées avec des extraterrestres.
Il existe certes des observations d’OVNI (Objet Volant Non Identifié) certifiées par plusieurs appareils de mesures et des témoins, dont les caractéristiques techniques doivent raisonnablement nous laisser accroire qu’ils ne peuvent pas être d’origine terrestre, ainsi que des observations de PANI (Phénomène Atmosphérique Non Identifié) dont les caractéristiques peuvent aussi nous permettre d’aboutir aux mêmes conclusions, autant qu’il existe des publications scientifiques sur la possibilité du voyage interstellaire dont on peut raisonnablement croire qu’elles sont le produit d’une influence extraterrestre (notamment les travaux sur l’univers bi-métrique « janus ») et nous reviendrons en détail dans d’autres articles sur chacune de ces affirmations, mais globalement il ne s’est jamais produit de rencontre formelle publique entre des terriens et des extraterrestres au point que cela aurait impacté le devenir de notre espèce, de sa génétique, de ses sociologies, de ses cultures, de ses mœurs politiques, militaires, sexuelles ou de toutes autres natures.
Partant de ce constat, posons nous la question de savoir pourquoi de tels extraterrestres mettraient autant de distance avec nous.
Les armes de destruction massive et la bombe atomique
L’Homme de la terre possède des armes de destruction massive et les leaders politiques des nations qui possèdent ces armes cherchent à projeter ces mêmes armes en tous lieux, sous les océans, dans les airs, ainsi que dans l’espace proche de la terre.
Les nouveaux développements des sciences (obtention de plusieurs milliards de degrés sur la Z-machine aux U.S.A. en 2006 etc.) nous laissent entrevoir que des armes proliférantes explosives non conventionnelles, à plasma et/ou à antimatière par exemple, pourraient être développées.
Quelques grammes d’antimatière dans une bouteille magnétique pourraient théoriquement vitrifier toute la terre ou détruire tout le système solaire.
Statistiquement des civilisations extraterrestres ne peuvent pas posséder de telles armes, pour une raison toute simple qui est que si elles en possédaient elles se seraient sur des périodes de plusieurs centaines ou milliers d’années, déjà auto-détruites. Ces civilisations au cours de leur histoire possédaient peut-être de telles armes, mais elles ne peuvent plus raisonnablement en posséder si elles sont parvenues à survivre à elle-mêmes sur des temps qui dépassent la faible espérance de vie actuelle de l’humanité terrestre par la faute de la possession de ces armes.
Peut-être existe-t-il même l’exemple d’une planète totalement vitrifiées et détruite par ses propres habitants, ce qui ne peut que dissuader tous les extraterrestres de posséder des armes de destruction massive.
En moins d’un siècle sur terre nous avons par ces armes connu Hiroshima, Nagasaki, la crise des missiles de Cuba, d’innombrables vols de matériels atomiques et autant d’accidents, ainsi même que des tirs accidentels de missiles atomiques, demeurés jusque là heureusement sans conséquence, parce qu’il fut techniquement possible de les désactiver ou de les détruire avant qu’ils n’atteignent leur cible.
Le grand public n’est pas informé de tous ces cas et nous reviendrons plus précisément sur ces derniers dans de prochains articles.
Cela démontre que la possession de l’arme atomique n’est pas pérenne, qu’elle n’est qu’un état transitoire vers le renoncement aux armes de destruction massive ou l’extinction auto-induite de l’espèce humaine sur terre, par elle-même, par hypertélie(*).
(*) L’hypertélie est l’auto-destruction d’une espèce vivante par elle-même, par le fait du développement exacerbé de certains de ses attributs morphologiques, génétiques ou comportementaux.
Pour la raison que nos leaders politiques cherchent à projeter ces armes de destruction massive partout sur terre et dans l’espace à proximité de la terre, s’ils en avaient technologiquement les moyens, ils chercheraient aussi à projeter ces mêmes armes à destination des autres planètes déjà habitées.
C’est là un point crucial de l’exopolitique.
On ne peut pas posséder les travaux du physicien Jean-pierre Petit publiés dans les plus prestigieuses revues scientifiques mondiales à comité de lecture, qui rendent le voyage interstellaire techniquement envisageable et dans le même temps posséder la bombe atomique.
Entre le voyage interstellaire et les armes de destruction massive, il faut choisir, car il y a une incompatibilité d’ordre ontologique relative à la survie des espèces et à la poursuite des modèles et des équilibres évolutifs dans l’univers.
Aussi, nous pouvons croire que les désactivations de missiles atomiques aux U.S.A. par des OVNI (objet volant non identifié), tel que le Capitaine Robert Salas fut autorisé à le rapporter, ne font que préfigurer la position d’extraterrestres à l’égard de nos politiques d’armements.
Ces extraterrestres n’entrent pas frontalement en contact avec nous, car ils ne le peuvent pas du fait de ces armements qui sont le produit de paradigmes de défense primitifs. Non seulement ces extraterrestres craignent que nous attisions notre course aux armements par leur faute si nous les rencontrions, du fait notamment de la peur que nous éprouverions à les rencontrer, mais au surplus ils craignent que nous projetions à terme nos armes sur leurs planètes au point qu’ils seraient en représailles contraints de provoquer un ethnocide et une régence extraterrestre de la terre.
En un mot, ces extraterrestres ne souhaitent pas que la terre devienne leur Afghanistan, ils ne souhaitent pas s’engager sur terre au point que nous deviendrions dépendant d’eux pour qu’ils nous gouvernent, pour qu’ils nous civilisent aussi éventuellement. Ils ne souhaitent pas se confronter à nous au point de devoir à terme s’engager par notre faute dans un conflit armé contre nous, aussi ils gardent avec nous leurs distances. Mais peut-être est-ce déjà trop tard et peut-être que dans les décennies à venir pour assurer la sécurité de leurs propres planètes contre nous, lorsque nous maîtriserons le voyage interstellaire, dans possiblement 15 à 30 années, la terre sera pour eux déjà leur Afghanistan.
Les relations inter-espèces, les développements tératogénétiques et les parodies de mariages homosexuels
Les développements tératogénétiques
Sur terre les accouplements entre les différentes espèces, y compris avec l’assistance d’une ingénierie génétique, causent des développements tératogénétiques.
Un développement tératogénétique c’est l’enfantement de monstres dysfonctionnels dans leur environnement et face aux autres espèces, suite à l’accouplement entre individus d’espèces différentes, y compris avec une assistance scientifico-médicale.
Un Homo Sapiens Sapiens ne peut par exemple pas s’accoupler avec un chimpanzé sans engendrer des monstres, y compris avec une assistance scientifico-génétique.
Il est ainsi probable que la reproduction entre humains terriens et des extraterrestres, induise des développements tératogénétiques, c’est à dire des monstres.
Si des développements tératogénétiques ne sont pas nécessairement susceptibles d’induire l’extinction d’une espèce, pas plus que des comportements homosexuels ne sont par eux-mêmes capables d’induire l’extinction d’une espèce, il n’en demeure pas moins que de tels appariements ont des incidences politiques, sociales, sociologiques, culturelles, comportementales et même phénotypiques(*), sur la totalité des individus d’une espèce.
(*) Le phénotype c’est l’ensemble des attributs comportementaux et morphologiques d’un individu, induits par sa génétique.
A titre d’exemple et pour être très concret, le fait pour un humain de pratiquer la zoophilie ne va pas remettre en question le devenir de l’espèce humaine sur terre, mais par contre, le fait pour un humain de pratiquer la zoophilie, va causer chez le reste de la population un trouble morale, éthique, psychiatrique, donc politique et culturel autour de cette question, autant qu’elle peut causer des conflits entre ceux qui pratiquent la zoophilie et ceux qui ne la pratiquent pas, d’autant plus si ceux qui pratiquent la zoophilie avaient une propension à vouloir promouvoir leur pratique, en causant notamment de micro-traumatismes ou des lésions mentales chez les enfants ou les adultes auprès desquels ils se livreraient à de telles promotions. Des individus porteurs de tels traumatismes seraient eux-mêmes susceptibles de causer à leur tour du fait de ces traumatismes, des troubles d’ordre politique et éventuellement criminels dans le reste de la société.
Il en serait de même pour les développements térotogénétiques à cette différence que de tels développements en causant des différences morphologiques exacerbées entre les individus, causeraient une très grande difficulté ou une impossibilité à « vivre ensemble », ainsi que par conséquent une multitude de conflits pouvant par ricochets évoluer en conflits politico-militaires.
A titre d’exemple, une série de mâles qui seraient génétiquement développés pour être dotés chacun d’un exacerbé protubérant pénis, ne pourraient mécaniquement plus s’accoupler avec les femelles dont le vagin serait mécaniquement trop petit. Ou encore, une série de femelles génétiquement développées pour être dotées chacune de deux vagins, induirait des unions à trois entre deux mâles et une proto-femelle bi-vaginale, ce qui serait anthropologiquement un état de fait incompatible avec le reste de l’espèce uni-sexuée hétérosexuelle.
Sans penser à de tels extrêmes liés à la sexualité, à titre d’exemple on peut aussi imaginer que des individus génétiquement développés pour privilégier une forme d’intelligence au détriment des autres, qui seraient dotés d’une exceptionnelle mémoire ou d’un quotient intellectuel hors norme, puissent ne pas parvenir à s’intégrer au reste de la population, au point qu’en résulteraient des conflits à terme politico-militaires.
De l’individualisme ou du collectivisme
C’est une erreur de considérer les civilisations extraterrestres au travers du prisme ethnocentré de l’individualisme occidental.
Il n’est pas impossible que pour assurer leur pérennité et leur survie sur des temps très long qui excèdent la durée de l’existence de l’Homme sur terre, des civilisations extraterrestres en soient venues à privilégier l’intérêt du groupe plus que celui de l’individu.
L’équilibre entre les droits de l’individu et ses devoirs au regard du groupe et de l’espèce à laquelle il appartient, ainsi qu’à l’égard des autres espèces, est très difficile à trouver et il est possible que des civilisations extraterrestres soient parvenues à murir des équilibres plus subtiles, plus sensibles et de fait beaucoup plus fragiles que ceux que nous développons sur terre ou encore qu’elles soient plus défavorables à l’individu que ne le sont actuellement les sociétés occidentales sur terre, notamment au regard des mœurs sexuelles, des comportements homosexuels, des comportements zoophiles, des développements tératogénétiques ou transhumanistes.
Ce serait là une des autres raisons pour lesquelles de telles extraterrestres ne souhaiteraient pas entrer trop frontalement en contact avec nous, car une telle rencontre pourrait causer par nos idées individualistes et libertaires sur le plan des mœurs et notamment sur le plan des mœurs sexuelles, une corruption de leurs subtiles et très fragiles équilibres génétiques, sociologiques, culturels, religieux et politiques, donc in fine militaires, si tant est que les concepts militaires pour potentiellement primitifs qu’ils soient, aient un sens pour décrire leurs civilisations.
Pour être très concret, ces extraterrestres cherchent à nous éviter ou à tout le moins à ce que nous ne devenions pas à terme une charge ou une menace pour eux, car notre individualisme, potentiellement induit par le phénotype de notre espèce, est une contradiction à leur « collectivisme », si tant est que ce mot puisse faire sens dans ce contexte. Ce même « collectivisme » est potentiellement une des raisons de la grande longévité de leurs civilisations, contrairement au caractère très éphémère de l’Homme et des civilisations humaines sur terre.
Des différents modes de reproduction des espèces sur terre
Chez la bruche, un petit coléoptère d’Afrique, la femelle vit un véritable supplice pendant l’accouplement, car le pénis de son partenaire est hérissé d’épines.
Pour plus d’efficacité le mâle de la punaise de lit perfore l’abdomen de sa partenaire avant d’y déposer sa semence, ce qui la blesse atrocement.
C’est ce qu’on nomme les accouplements traumatiques.
En 2012 une femelle requin dénommée Leonie de l’aquarium de Townsville en Australie fut séparée de son mâle avec qui elle avait eu une vingtaine de petits et en 2016 Leonie qui n’avait depuis 2012 croisé aucun autre mâle, donnait naissance à trois nouveaux petits. Des tests génétiques furent réalisés qui démontraient que les trois nouveaux bébés requins ne possédaient que l’ADN de leur mère. Leonie était parvenue à se cloner. Elle avait d’elle-même engendré la division d’un ovule et le développement d’un embryon. C’est ce qu’on nomme la parthénogenèse, lorsqu’une femelle se reproduit d’elle-même par auto-clonage d’elle-même.
Les rotifères bdelloïdes sont de microscopiques animaux d’eau douce dépourvus de reproduction sexuée, car ils accaparent des fragments d’ADN d’autres espèces animales et végétales. C’est ce qu’on peut nommer un mode de reproduction bdelloïdien, si l’on peut encore parler de reproduction.
Ces exemples sur terre nous renseignent ainsi sur toute la diversité des modes de reproduction que nous pourrions trouver en exobiologie, sur d’autres planètes habitées et chez d’autres civilisations extraterrestres.
De tels extraterrestres pourraient au demeurant physiquement nous ressembler, au point qu’ils pourraient se confondre avec nous, pour la même raison que certaines espèces issues de phylum(*) distincts se ressemblent morphologiquement entre elles sur terre, bien qu’elles ne puissent pas se reproduire entre elles.
(*) Le phylum est une lignée de l’arbre de l’évolution.
Pour la même raison que des humains pratiquent le sadomasochisme ou la zoophilie, des revendications se feraient jour pour que des modifications génétiques ou des unions avec des extraterrestres puissent rendre possible des expériences sexuelles traumatiques, bdelloïdiennes ou parthénogénétiques.
Des extraterrestres ne pouvant pas assumer les conséquences à terme militaro-politiques de telles revendications, c’est une des raisons de leur relative actuelle discrétion à notre égard.
Des conséquences de l’homosexualité
Les comportements homosexuels existent sur terre chez l’Homme comme chez certaines autres espèces animales sexuées (mais pas chez toutes les espèces sexuées). Les comportements homosexuels, notamment chez les animaux, sont probablement les scories d’une vie qui par la sélection naturelle cherche le meilleur moyen de se reproduire. L’homosexualité est potentiellement la résultante de ce qui a pour fonction de permettre aux espèces d’évoluer pour survivre dans leur milieu naturel.
L’homosexualité, lorsqu’elle n’est pas érigée en une nouvelle norme individualiste contre l’intérêt du groupe, n’est pas stricto-sensu directement une menace pour la pérennité de l’espèce humaine sur terre. L’appariement d’humains qui pratiquent l’homosexualité ou même l’appropriation d’enfants par des homosexuels, ne va pas fondamentalement remettre en cause le mode de reproduction sexuée de l’espèce ni directement sa génétique.
Néanmoins, les comportements homosexuels et les revendications qui y sont associées, causent des effets de bord dont les conséquences sont inconsidérées, très particulièrement en Occident.
Il y a tout d’abord les conséquences pour les enfants élevés par des homosexuels, appropriés ou acquis par des homosexuels dans le cadre notamment de GPA/PMA (Gestation Pour Autrui / Procréation Médicalement Assistée). Un enfant élevé par des homosexuels va développer de micro-traumatismes qui sont autant de lésions susceptibles de le rendre à terme inadapté à la poursuite de l’intérêt du groupe humain. Il est interdit à un enfant élevé par des homosexuels de pouvoir résoudre son Œdipe, de pouvoir apprendre la séduction et il lui est au contraire inculqué les valeurs du narcissisme, car il est très narcissique de vouloir par l’homosexualité rechercher le même chez l’autre.
Ensuite, il y a les conséquences pour le reste de la société hétérosexuelle face aux comportements homosexuels et face aux enfants sociologiquement dysfonctionnels de ces mêmes homosexuels, au regard de la poursuite des intérêts du groupe humain. Des troubles politiques peuvent résulter de ces enjeux, des régimes politiques peuvent basculer d’un camp politique vers un autre sur la base de ces questions, du terrorisme peut naître sur la base de ces enjeux et des guerres peuvent même être menées pour des questions de mœurs sexuelles.
La question du mariage homosexuel ou des propagandes homosexuelles à destination des enfants, intéresse ainsi les relations diplomatiques entre la France et l’Union Européenne avec la Hongrie, la guerre en Ukraine ou en Géorgie, les relations diplomatiques de Taiwan avec la Chine, ou encore le résultat des élections présidentielles dans de nombreux pays, notamment en France après les mobilisations de La Manif Pour Tous contre les parodies de mariages homosexuels, l’adoption d’enfants par des homosexuels et la loi bioéthique visant à générer une zoophilie de laboratoire inter-espèces.
C’est du fait de tous ces effets de seuils que les comportements homosexuels interrogent le devenir de l’espèce humaine et même aussi l’exopolitique.
Des parodies de mariages homosexuels aux unions inter-espèces
Bien que des groupes de plus en plus actifs revendiquent la pratique de la zoophilie et bien que dans ce sens la dernière loi bioéthique vienne en France entériner les expériences scientifiques pour une reproduction inter-espèces tératogénétique, globalement la zoophilie demeure moralement condamnable, presque partout sur terre.
Il n’en serait en l’état actuel des choses pas de même pour la zoophilie entre humains terriens et extraterrestres.
Pour la même raison que sont promues par les Etats les relations homosexuelles, des revendications émergeraient pour obtenir le droit au mariage entre des humains et des extraterrestres, au motif de « l’amour », de « l’égalité des droits », de la « tolérance », de la « liberté individuelle » et de la « jouissance physique sexuelle ».
Il n’est pas du tout certain que des civilisations extraterrestres seraient favorables à une telle promotion, alors même que leur refus de provoquer un contact formel trop évident avec nous pourrait précisément signifier leur intention de ne pas s’apparier avec nous.
Lorsqu’on considère tous les effets de bords et de seuils que causent les comportements homosexuels sur terre, comme déjà détaillés ci-dessus, pourquoi des extraterrestres au risque de déstabiliser leurs propres équilibres biologiques et sociologiques, prendraient par une rencontre trop formelle avec nous, le risque d’attiser plus encore ces effets de bords et de seuils au point à terme de pouvoir engendrer des guerres interstellaires par la faute d’une incompatibilité de mœurs sexuelles entre eux et nous ?
Pour autant nos leaders politiques, notamment occidentaux, s’ils avaient la possibilité technique de se projeter sur d’autres planètes déjà habitées, chercheraient à n’en point douter à y planter le drapeau LGBTQI+ et à s’attacher les services de dissidents politiques qui sur ces planètes chercheraient à promouvoir les développements et les unions tératogénétiques entre humains et extraterrestres.
Nos leaders occidentaux promeuvent les parodies de mariages homosexuels en Hongrie, en Pologne, en Ukraine, en Géorgie, en Russie, à Taiwan et partout où ils le peuvent sur terre. De la même façon ils tenteraient par les mêmes ingérences de promouvoir ces unions tératogénétiques entre humains et extraterrestres sur les autres planètes habitées.
Cela aurait certainement deux conséquences.
Une telle politique nous aliènerait celles des espèces extraterrestres certainement majoritaires qui récusent les unions tératogénétiques pour chérir et protéger leurs propres équilibres et modèles évolutifs, enfin, cela nous rapprocherait des espèces potentiellement mourantes, potentiellement issues du transhumanisme, qui ne seraient plus en capacité de se reproduire naturellement.
Les parodies de mariages homosexuels et les récentes lois bioéthiques, dans une perspective exopolitique, sont ainsi susceptibles de nous aliéner les espèces évolutionnistes certainement majoritaires dans l’univers pour des raisons de survie, c’est à dire celles qui souhaitent conditionner leurs évolutions génétiques aux développements de leurs propres biotopes et milieux, tout en attirant à nous les espèces transhumanistes certainement plus minoritaires, issues de tels dogmes, génétiquement décorrélées de leurs biotopes d’origine, jusqu’à engendrer entre ces espèces et nous des accouplements à l’issue tératogénétique, dont les effets de bords et de seuils, plus encore que pour les comportements homosexuels, seraient incalculables et potentiellement mortels pour toutes civilisations y compris extraterrestres.
Des génogroupes (races) et de l’antispécisme en exopolitique
Une espèces est composée de l’ensemble des individus aptes à se reproduire entre eux. Un génogroupe, dont le mot race peut être un synonyme, est un sous-ensemble composé de l’ensemble des individus d’une espèce qui ont une caractéristique génétique en commun.
Lorsqu’on voit les conflits raciaux qui existent sur terre, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, ainsi que les conflits qui existent entre les hommes et les femmes, entre des individus qui appartiennent pourtant tous à la même espèce Homo Sapiens Sapiens, pourquoi des extraterrestres viendraient-ils attiser ces conflits au point de les souffrir eux-mêmes sur leurs propres planètes par ricochets, en nous confrontant à leurs propres différences de phénotypes ?
Le racisme parce qu’il existe aussi chez les animaux, est la conséquence de ce qui a pour fonction de protéger l’intégrité physique des espèces.
S’il faut à une espèce un degré minimum d’ouverture pour renouveler son patrimoine génétique, éviter la consanguinité et assurer par sa grande diversité génétique son adaptation aux évolutions de son milieu naturel, c’est une autre chose que l’antispécisme.
Il n’est ainsi pas du tout certain que l’antiracisme occidental soit partagé par des extraterrestres et il est même envisageable que le racisme soit pour des extraterrestres un constituant de leurs modes de survie, comme extension de leur spécisme, pour la raison qu’une espèce totalement antiraciste, c’est à dire totalement antispéciste, serait à l’extrême trop génétiquement ouverte pour assurer sa pérennité dans le temps.
La terre, futur Afghanistan des extraterrestres ?
Les capacités de projection des armes de destruction massive, la bombe atomique, la promotion des comportements homosexuels, les futurs revendications pour des unions tératogénétiques entre humains et extraterrestres, les développements de la zoophilie de laboratoire par les nouvelles lois bioéthiques, l’antispécisme, ainsi que la proclamation d’un individualisme exacerbé en opposition aux intérêts du groupe humain, sont ainsi dans une perspective exopolitique, quelques unes des raisons pour lesquelles une rencontre publique trop formelle entre des humains et des extraterrestres n’est pas possible à ce stade de notre maturité comportementale sur terre.
Pour autant ces extraterrestres à mesure que se développent nos sciences et la perspective que nous puissions développer le voyage interstellaire, ne peuvent que chercher à anticiper le moment de notre rencontre, en préparant nos paradigmes de telle sorte que nous ne soyons pas le moment venu une menace pour eux sur leurs planètes.
A ce titre il me semble que de tels extraterrestres par pacifisme commettent une grave erreur à notre endroit. Non seulement nous allons chercher à promouvoir les unions tératogénétiques sur leurs planètes, dès que nous le pourrons, mais de la même façon il est certain que nous allons tenter de contraindre leurs populations sur leurs planètes, par nos armes.
Puisque les relations entre humains et extraterrestres ne sont encore que très lacunaires, informelles, pour ne pas dire ésotériques ou fantasmées, cela signifie que pour l’évolution de nos paradigmes ces mêmes extraterrestres n’ont pas encore compris que leur crainte de voir la terre devenir leur Afghanistan était en train de se réaliser.
Car s’ils n’intervenaient pas maintenant plus concrètement pour orienter nos paradigmes vers un renoncement aux armes de destruction massive et vers un renoncement aux parodies de mariages homosexuels, pour se protéger à terme de nous et de nos idées-virus sur leurs planètes, ils n’auraient à terme plus d’autre choix que de provoquer un ethnocide sur terre et une régence extraterrestre de la terre.
Car il y a de très fortes inerties dans l’évolution de nos paradigmes et de nos attributs comportementaux.
Nous ne renoncerons pas aux parodies de mariages homosexuels ni aux armes de destruction massive en 2035 ou en 2045 lorsque nous maîtriserons alors le voyage interstellaire, à ce stade il serait trop tard pour de tels extraterrestres.
C’est aujourd’hui qu’il faut dans cette perspective travailler au renoncement aux armes de destruction massive et à l’établissement de lois morales récusant la promotion des comportements homosexuels ou les évolutions tératogénétiques.
C’est ainsi que pour commencer à répondre à cette impossible bombe atomique, je propose modestement la solution du scrutin de listes de trois Colistier-présidents.